- WRITTEN BY:
- Gil Courtemanche
Jean Robitaille
- PRODUCED BY:
- Jean Robitaille
- TRACK LENGTH:
- Album Version: 4'30"
- FROM THE ORIGINAL SINGLE:
- ALBUM VERSION ON:
- LES YEUX DE LA FAIM
- CHARITY SINGLE IN AID OF:
- FONDATION QUEBEC-AFRIQUE
- SEARCH THE SITE
- ALBUMS
- MAJOR ALBUMS BY DATE
- SINGLES & PROMOS
- SINGLES & PROMOS BY ALBUM
- CONTRIBUTIONALS
- SAMPLERS & SPECIALTIES
- VIDEO, DVD & BLU-RAYS
- TRACK LYRICS & INFORMATION
- RARITIES LYRICS & INFORMATION
- DION FAMILY RELEASES
- GUEST ARTISTS
- SONGWRITERS
- PRODUCERS
- SITEMAP
-
- CELINE DION DISCOGRAPHY
-
Ils ne pleurent plus, n'ont plus de larmes
Plus de sourire, juste des yeux
Ils n'ont plus que leurs yeux
Que leurs yeux pour nous parler
Ils ne bougent plus, n'ont plus de jeux
Plus de rires, juste des yeux
Ils n'ont plus que leurs yeux
Que leurs yeux pour nous parler
Les enfants, les enfants qui nous regardent
Les enfants du destin, les enfants de la faim
Les enfants, les enfants qui nous regardent
Les enfants de demain, ils ont le droit de vivre
Ils n'ont plus que leurs yeux
Qui regardent le vent qui tue
Ils n'ont plus que leurs yeux
Et des larmes de sable
Les enfants, les enfants qui nous regardent
Les enfants du destin, les enfants de la faim
Les enfants, les enfants qui nous regardent
Les enfants de demain, ils ont le droit de vivre
Le droit de vivre
Ils ne chantent plus, n'ont plus de mots
Plus de rêves, juste des yeux
Ils n'ont plus que leurs yeux
Que leurs yeux pour nous parler
Ils ne vivent plus, n'ont que l'espoir
N'ont plus de temps, juste des yeux
Ils n'ont plus que leurs yeux
Ne fermons pas les yeux
Les enfants, les enfants qui nous regardent
Les enfants du destin, les enfants de la faim
Les enfants, les enfants qui nous regardent
Les enfants de demain, ils ont le droit de vivre
Ils n'ont plus que leurs yeux
Qui regardent le temps qui tue
Ils n'ont plus que leurs yeux
Et des larmes de sable
Les enfants, les enfants qui nous regardent
Les enfants du destin, les enfants de la faim
Les enfants, les enfants qui nous regardent
Les enfants de demain, ils ont le droit de vivre